J’ai vu l’impatience
J’ai vu la peur
J’ai vu l’excitation
J’ai vu la sueur
J’ai vu l’effort
J’ai vu l’abandon
J’ai vu la douleur
J’ai vu les poings serrés
J’ai vu les doigts entrelacés
J’ai vu le dépassement
J’ai vu la solidarité
J’ai vu la détresse
J’ai vu la victoire
J’ai vu la joie
J’ai vu les larmes
Et dans 3 semaines, je vais vivre.
Quoi précisément ? C’est bien là que réside toute la beauté de la chose…
Tu as vu tout ce qui compte dans le marathon . Très juste ton billet
Merci François. Maintenant voir c’est bien… mais y être, c’est mieux. Vivement le 1er mai…